Cyberharcèlement, exploitation des enfants, creusement du fossé numérique, intelligence artificielle – la conclusion, aujourd’hui, du débat général de la Commission du développement social a vu de nombreux États Membres et organisations non-gouvernementales (ONG) insister sur la « face sombre » du numérique.
En cours au Siège de l'ONU
Conseil économique et social: Communiqués de presse
La Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, son débat général, l’occasion, une fois de plus, pour les délégations d’exprimer leurs vues sur le thème prioritaire de cette session, tout en mettant en avant leurs propres réalisations en matière de transformation numérique, dans des contextes plus ou moins favorables.
La Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, sa réflexion sur le rôle des technologies numériques au service du développement social, du bien-être et de la justice sociale en réunissant, dans le cadre d’un forum multipartite, un groupe d’universitaires, de représentants de la société civile et de gouvernements qui ont parlé de leur domaine d’expertise respectif allant des enfants, aux femmes et aux familles en passant par le gaspillage alimentaire.
La Commission du développement social a poursuivi, aujourd’hui, le débat général virtuel de sa cinquante-neuvième session, l’occasion pour les délégations de relever que si la pandémie de COVID-19 a indiscutablement creusé les inégalités, elle a également été un « accélérateur » de la numérisation des sociétés, permettant de corriger en partie lesdites inégalités.
Au troisième jour de sa cinquante-neuvième session, la Commission du développement social s’est intéressée aujourd’hui aux « questions nouvelles » en matière de politique sociale dans la perspective d’un relèvement post-COVID-19 plus inclusif, plus résilient et plus durable.
La Commission du développement social a poursuivi aujourd’hui les travaux de sa cinquante-neuvième session, consacrée au rôle décisif de la technologie numérique dans un relèvement post-COVID-19 plus inclusif, en entendant de vibrants plaidoyers en faveur de la solidarité internationale, seul moyen de surmonter le défi sans précédent que constitue la pandémie.
Les infrastructures durables, la science et les technologies constituent un « moteur puissant » pour parvenir à réaliser le Programme de développement durable à l’horizon 2030, qui est en soi une « feuille de route pour reconstruire en mieux » après la pandémie de COVID-19.
« Le Pakistan mènera les travaux du Conseil économique et social des Nations Unies (ECOSOC) avec objectivité et impartialité mais non sans ambition: l’ambition de promouvoir les objectifs vitaux de la sortie de crise de la COVID-19, de la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) au cours de la décennie d’action (2019-2030) et de la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur les changements climatiques », a déclaré ce matin M. Munir Akram, du Pakistan, après son élection à la présidence de l’ECOSOC pour la session de 2021.
Le débat de haut niveau de la session de 2020 du Conseil économique et social (ECOSOC), tenu conjointement avec la réunion ministérielle de trois jours du forum politique de haut niveau pour le développement durable, s’est achevé le 17 juillet sans l’adoption d’une déclaration ministérielle mais sur des appels forts à forger une riposte multilatérale et inclusive face à la pandémie de COVID-19.
Le Conseil économique et social (ECOSOC) a tenu aujourd’hui un débat consacré à la gestion, la dernière réunion sur ce thème ayant eu lieu le 3 juin. Il a ainsi examiné le travail de ses organes subsidiaires relatif à divers domaines et notamment la paix et le développement, les maladies non transmissibles, la prévention du crime et la justice pénale, ou encore la condition de la femme.